C’est parti – La liste de contrôle de la conformité à la Loi 25 de l’IAB Canada

Le vendredi 22 septembre, l’essentiel des obligations de la loi 25 du Québec en matière de protection de la vie privée – la norme la plus élevée que nous ayons jamais connue dans notre pays – est officiellement entré en vigueur. 

Et bien que certaines de ces obligations soient encore un peu floues, d’autres sont tout à fait claires. Voici cinq choses que vous devriez faire dès aujourd’hui pour vous préparer. 

  1. Comprendre les nouvelles obligations – Discutez avec votre responsable de la protection de la vie privée ou avec un conseiller juridique externe pour comprendre les exigences de cette loi et la meilleure voie à suivre pour votre organisation.

  2. Soyez plus transparent avec vos consommateurs – Un élément clé de cette loi est l’obligation de fournir un avis au moment de la collecte. Si ce n’est pas déjà le cas, il est temps de commencer à travailler avec une plateforme de gestion du consentement (CMP) pour donner aux utilisateurs les informations et le contrôle dont ils ont besoin avant que vous ne commenciez à collecter leurs données. 

  3. Gardez une trace du travail que vous faites – conservez les dossiers de consentement, ayez des processus internes formalisés et utilisez ce qui est à votre disposition afin de pouvoir démontrer que vous faites tout ce qui est en votre pouvoir pour donner la priorité à la protection de la vie privée.

  4. Utilisez tous les outils à votre disposition – Si vous êtes un fournisseur de technologie publicitaire ou un CMP, vous pouvez maintenant vous inscrire au TCF Canada. Et si vous êtes une marque ou un éditeur, cherchez à travailler avec des fournisseurs inscrits au TCF Canada.

  5. Participez à la conversation – Faites partie du groupe de travail sur la protection de la vie privée de l’IAB Canada et faites entendre votre voix dans le cadre des consultations à venir lorsque l’IPE publiera de nouvelles directives.  Communiquez avec policy@iabcanada.com

*Veuillez noter qu’il ne s’agit pas d’un avis juridique. Nous encourageons fortement les membres à travailler avec un conseiller juridique interne ou externe.